Voici quelques anecdotes qui rappelleront certainement des souvenirs à certains:

• Changement d’heure

Le dimanche de Pâques 91 à l’aube. Prise du gille à domicile. Malheureusement, c’est le week end correspondant au passage à l’heure d’été. Un Gille distrait (André Pirmez) se trouve encore en pyjama au balcon lorsque sa tournée de ramassage se présente chez lui.

• Poire William

Un lundi de Pâques au soir. Départ de la gare pour le rondeau final. Arrivés à hauteur de la Licorne, un établissement aujourd’hui disparu, 2 tamboureurs décident d’aller se désaltérer avant le rondeau final. Malheureusement, la tenancière de l’établissement les drogue à la Poire William. Ils ne verront jamais le rondeau ni le feu d’artifice.

• Femme de Gille exemplaire

Pâques 94. La femme d’un Gille est enceinte et l’accouchement est proche. Le dimanche se passe plutôt bien mais les premières contractions apparaissent. Lundi, pas de sortie pour l’épouse et une certaine inquiétude chez le papa, mais il termine son carnaval.  Finalement, mardi matin, départ vers la maternité. L’accouchement se termine vers 17h00, permettant ainsi à l’heureux papa de célébrer la naissance d’un futur gille au raclot. Bravo à la maman et au bébé qui ont tout planifié pour permettre au papa de faire le gille normalement. 

• Ligne de fond

Voici ce qu’écrivait le secrétaire de la société dans un courrier adressé aux membres le 12 février 1996 :

« Afin que l’ambiance soit totalement sans pareils et conforme aux traditions que nous respectons, nous vous rappelons quelques suggestions :

- N’hésitons pas à danser face à la batterie ou à la musique

- Continuons à former un groupe bien homogène. Arrêtons notre progression quand la batterie roule ou que la musique joue »

En observant la société quelques années plus tard, le moins que l’on puisse écrire, c’est que ces « suggestions » sont appliquées au-delà de toute espérance.